La Bataille de Hausbergen libère STRASBOURG
Argentoratum, puis Stradeburgum (Strasbourg), s'est développée dès l'époque romaine le long du Rhin. La petite ville se situe au croisement de routes commerciales qui permettent aux hommes et aux marchandises de traverser les alpes, depuis le nord de l’Italie, par le col du Grand St Bernard, et de descendre le Rhin jusqu’à la mer du nord en alimentant les cités de la vallée rhénane comme Spire, Mannheim, Heidelberg, Worms, Mayence, Francfort, Coblence, Bonn, Cologne, Düsseldorf, Nimègue et Rotterdam.
Le dernier empereur Hohenstaufen, Frédéric II est mort en 1250. S'en suit une période trouble où tous les princes du moment cherchent à augmenter leur influence.
L’homme fort de la région est l’évêque de Strasbourg qui possède tout ou presque, quelques 12 baillages, trois comtés avec plus de 150 000 habitants, une quarantaine de châteaux, une armée permanente de 300 cavaliers et 5000 fantassins ! A Strasbourg il y avait à cette époque dix mille habitants et ce sont les évèques qui finançaient principalement la construction de la grandiose cathédrale.
En mars 1260, un nouvel évêque est nommé : Walter de Geroldseck, à 30 ans, désirant probablement devenir rapidement riche, exige des Strasbourgeois le retour des droits seigneuriaux de 982 ! C’est un véritable bras de fer qui s’engage et une page fondamentale de notre histoire qui se joue. Le magistrat et les bourgeois plaident la cause de leur ville en montrant les lettres patentes de leurs privilèges acquis ; l'évêque reste intraitable ; il veut rétablir dans toute leur rigueur ses droits temporels ! Il menace d’user de tous les moyens de contrainte que lui confère son autorité épiscopale, comme l’excommunication ou l’interdit général qui prive les habitants des sacrements ecclésiastiques. Il commet là une erreur fatale car il rompt l’équilibre de la société civile d’alors.
La guerre est inévitable. Un premier incident a lieu à la Pentecôte en 1260, lorsque les Strasbourgeois détruisent le château de Mundolsheim. Walter de Geroldseck riposte en mettant la population de la ville au ban de l'Église et demande à tous les membres du Grand Chapitre, les chanoines et prêtres ainsi que tous les nobles de quitter la ville pour Dachstein, afin de priver ses habitants du secours de la religion. Avec les ecclésiastiques, 60 nobles ainsi que l’entourage de l'évêque quittent la cité emportant avec eux le Trésor de l’évêché. Les Strasbourgeois en profitent et s'empressent de piller les maisons abandonnées et de les démolir prenant ainsi un très gros risque sur leur avenir.
Replié à Molsheim, Walter de Geroldseck réclame l’aide de ses amis. L’archevêque de Trèves avec 1500 hommes, les abbés de Saint-Gall et de Murbach avec 500 hommes d’armes chacun, ainsi que tous les hommes-lige de l'évêque en Alsace arrivent en renfort dans le camp épiscopal qui s’installe à Holtzheim. Après avoir pris le château de Lingolsheim, les forces coalisées nobles ouvrent le siège de Strasbourg en déployant leurs effectifs entre Eckbolsheim et Kœnigshoffen.
Débute alors une « drôle de guerre » fait de coups de mains et d’escarmouches ; ainsi en juillet 1261, la milice strasbourgeoise fait une sortie, enlève à l'évêque de Trèves un lourd convoi chargé d'armes et de munitions et capture 60 chevaux. On signe ensuite un armistice pour permettre la rentrée des récoltes.
Se produit alors un évènement extraordinaire qui va faire basculer toute cette affaire et le destin de la région. Rodolphe de Habsbourg, qui s’était dans un premier temps allié à l’évêque, « tourne casaque » et va à Strasbourg conclure une alliance avec les bourgeois contre l’évêque et ses partisans et jurer au peuple de la ville de Strasbourg (qui avait été rassemblé pour cela), de soutenir loyalement la ville contre quiconque aussi longtemps qu’il vivrait. Cette alliance est inouïe car Rodolphe a pris un risque énorme qui aurait pu lui être fatal ainsi qu'à toute sa descendance !
Walter de Géroldseck, très énervé, porte alors la guerre en Haute-Alsace, attaque Kaysersberg, investit Colmar et Mulhouse et fait détruire les faubourgs de Strasbourg. En représailles, les Strasbourgeois tombent nuitamment sur les quatre villages épiscopaux de Wolfisheim, Breuschwickersheim, Schaefolsheim et Achenheim qu’ils incendient. C’est maintenant une guerre à mort entre les deux factions. Après deux années de cette guerre d'usure, arrive l'heure de vérité. C’est à Oberhausbergen que va avoir lieu le « Crécy alsacien », le 8 mars 1262.
Ce matin-là, le chevalier Reinbold Liebernzeller, chef de la milice strasbourgeoise, rassemble les strasbourgeois et leur fait ce discoyrs : « Combattez aujourd'hui avec courage et sans peur pour l'honneur de notre cité et pour perpétuer notre liberté et celle de nos enfants et descendants ». Sachant que l’évêque Walter avait rassemblé son armée dans sa cité épiscopale à Dachstein, les Strasbourgeois (vraisemblablement avec l'aide de Rodolphe de Habsbourg dont on mettra la statue sur la cathédrale) ont dans le plus grand secret imaginé un plan pour le piéger. La moitié de la garnison de Strasbourg, conduite par le chevalier Reinbold, se rend à Mundolsheim, à l'extrémité nord de la colline de Hausbergen, et abat le clocher dont on craint qu'il serve de vigie. L'évêque, apprenant la nouvelle de la sortie de strasbourgeois, se précipite effectivement avec 300 cavaliers pour les prendre à revers sans attendre son infanterie. Mais le reste de la milice strasbourgeoise aidée par les différentes corporations se lance alors hors des murailles de la cité et prennent les cavaliers de l’évêque à revers devant les collines de Hausbergen. Les 300 archers strasbourgeois vont empêcher les fantassins adverses d’intervenir. Les bouchers et pelletiers strasbourgeois sont chargés de couper les jarrets des chevaux ennemis, faisant tomber les chevaliers engoncés dans leurs lourdes armures. Ces derniers sont tués sans pouvoir se défendre. La victoire est totale pour Strasbourg : 1300 morts dans les rangs des épiscopaux dont 70 nobles avec le frère de l’évêque et de nombreux prisonniers. Il y a quelques morts dans le camp strasbourgeois et un seul prisonnier qui paiera chère cette vilénie ! Cette victoire, entrée dans l’histoire sous le nom de bataille de Hausbergen, est capitale pour l’avenir de la région, Strasbourg devient, avec Colmar et Mulhouse, la première ville en Europe à se libérer du joug de son détestable évêque qui mourra l’année suivante de dépit.
Ce fait d’armes du chevalier Reinbold Liebenzeller sera enfin reconnu en 2018, grâce à une statue de 2m40 installée place des Tripiers à Strasbourg. Il est inscrit sous l’arbalète du chevalier : père de la République Libre de Strasbourg.
Strasburg est donc la première ville d'Alsace à se libérer des griffes de son évêque ! Les 10000 habitants de la ville se dote alors d'un régime républicain totalement inouie pour l'époque ce qui permettra le développement économique de toutes les corporations. Elle est proche, par ses franchises, de Cologne, de Mayence ou de Spire.
Les corporations des artisans, peu à peu, conscientes de leur force se soulèvent contre les familles nobles qui se sont dans l’intervalle accaparées le pouvoir. Elles profitent d’une rixe sanglante entre les familles Zorn et Mullenheim, en 1332, pour s’emparer des clefs de la ville et imposer un nouveau conseil ou chaque corporation est représentée.
Ce mouvement démocratique va déboucher sur la création d’une république gérée par les corporations un peu comme à Venise pendant plus de 300 ans et qui vont diriger la politique de la cité avec circonspection, prudence et énergie.
Ce régime constitutionnel où le pouvoir et la puissance ne sont pas détenus par un seul homme et dans lequel la charge de chef de l’entité juridique n’est pas héréditaire. C’est un régime institutionnel complexe au sein duquel plusieurs organes plus ou moins indépendants concourent à l’exercice du pouvoir :
- L’Ammeister (le président) élu pour un an par les délégués des corporations ; la liste des Ammeister comprend quelques 300 noms car on pouvait être élu plusieurs fois.
- quatre Stettmeister (maires), élus pour un trimestre chacun par le Sénat (un tiers de nobles pour deux tiers de bourgeois). Un Stettmeister-régent représente la « République », en particulier aux diètes d'Empire, préside le Sénat, recueille les votes, garde les sceaux de la ville et signe les décrets et ordonnances. Le Stettmeister sortant préside le Schwoertag (prestation annuelle de serment à la constitution) et reçoit les serments.
- Un sénat (Rat) de 31 membres : si le système semble parfait, il ne l’est pas tout à fait car, pour donner une stabilité dans le temps à la politique de la cité, les membres de ce Sénat élisent ensuite 3 chambres secrètes dont les membres, eux, sont nommés à vie et se répartissent les compétences et le vrai pouvoir :
- La plus importante est la chambre des XXI qui détient le vrai pouvoir de voter les lois ; ses membres se répartissent aussi dans 2 autres chambres tout aussi secrètes :
- la chambre des XV qui contrôle le fonctionnement de la constitution, l’administration, les finances, les constructions, ainsi que la police et les métiers..
- la chambre des XIII, la plus puissante, qui s’occupe des questions militaires, de la diplomatie et organise la milice, le recrutement des mercenaires, la gestion des fortifications, la fabrication des armes.
- enfin 300 échevins élus par les artisans et les commerçants (des 20 corporations), élisent les membres du sénat et assistent ces derniers pour les grandes décisions.
Les 20 corporations regroupent plusieurs métiers et représentent 65% de la population soit la quasi-totalité des hommes en âge de travailler. Elles se réunissent dans les poêles « Stub » dont il nous reste aujourd’hui les plus conviviales, les « Winstubs » !
Les corporations influencent la politique intérieure et extérieure de la cité. Elles fournissent les contingents armés en cas de guerre, et assurent quotidiennement des fonctions de police comme le service de guet et d’alerte. Elles assurent également la formation des apprentis et des compagnons, rêglementent l’exercice de chaque métier et gèrent les querelles.
Tout cela aboutit à la création d’une nouvelle élite, la bourgeoisie, et à la concentration des pouvoirs au sein des familles les plus influentes et les plus riches.
C’est de cette époque qu’est née une forte volonté d’indépendance et de neutralité de la ville au milieu des troubles incessants.
La richesse de Strasbourg provient des taxes prélevées sur le transport des marchandises qui transitent par le Rhin et la corporation des bateliers est la plus importante. La ville va se doter d’une fonderie qui va fabriquer les armes nécessaires à sa protection et qui fabriquera jusqu’au 19ème siècle des canons réputés.
En 1508, l'empereur Maximilien 1er de Habsbourg (arrière-petit-fils de Léopold III mort à la bataille de Sempach) accorde à la ville le droit de frapper des florins d'or ce qui lui permettra de devenir la première place financière de l’époque. La constitution crée en 1489 restera en vigueur jusqu’en 1789. Elle concentre les pouvoirs des corporations regroupant les différents métiers, donc à ceux qui travaillent. Cette organisation est révolutionnaire pour l'époque dans le sens qu’elle donne à chaque membre la motivation de faire partie d’une grande famille structurée, agissant pour le bien commun. Cela stimule les imaginations et permet des innovations techniques extraordinaires qui donne à la cité une longueur d’avance dans la compétition avec les autres villes. Cela crée aussi une bourgeoisie qui s’enrichit et qui, pour se protéger, rend les codes d’accès à l’élite de plus en plus complexe.
La ville érige de formidables fortifications qui la mettront à l’abri des tentatives d’assimilation. Le « beau XVIème siècle » sera l’apogée de cette richesse et puissance de Strasbourg qu’elle ne retrouvera plus après la guerre de Trente ans. Lorsque Louis XIV, viendra personnellement exiger la reddition de la ville. en 1681, c’en sera fini de sa liberté.
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